Quand le passé se fait présent – 1954 à 1961

Ensuite, suivant les saisons, on traînait dans les rues, on faisait du vélo ou si c’était la période, je partais à l’école retrouver mes sœurs et les copines. Nous fréquentions l’endroit toute la semaine, mais nous avions plaisir à y retourner le dimanche dans un contexte totalement différent. C’était bien là la seule échappatoire dont nous disposions pour nous divertir et échapper, ne serait-ce que quelques heures, à notre cadre familial.

Lire l'extrait